L’hôtel New Hampshire, John Irving

France Loisir, 1982, 474 p.

Genre : Famille Adams de jour

Note : 10/10

John, « môme, » nous raconte l’histoire de sa famille. C’est lui le narrateur, bien qu’il utilise, à propos, les dires et les pensées de presque tous les protagonistes de l’histoire (ours et chien pétomanes compris) pour illustrer et préciser son récit.

Dans la fratrie, nous trouvons Frank (l’homo nihiliste), Franny l’énergique cheffe de bande, John amoureux de sa sœur aînée qui le lui rend bien, Lilly (trop petite) et Egg le petit dernier.

La père, un rêveur du Maine qui a rencontré sa future femme (ainsi que Freud et son ours State O’Maine) grace à un job d’été dans un Hôtel, veux transformer l’ancien pensionnat de jeunes filles désaffecté en Hôtel. Ce sera le premier hôtel New Hampshire. Le second sera trouvé par Freud à Vienne (mi bordel mi repère de révolutionnaires) et le troisième la résidence familiale érigée en lieu et place du tout premier Arbuthnot by the Sea.

Rubicon du primo lecteur

Franny se fait violer, John se tape la bonne, l’ours est abattu. Départ pour Vienne : la mère et Egg disparaissent en mer, la vie est dure, les révolutionnaires veulent faire péter l’opéra et séquestrer la famille. Lilly écrit pour grandir, elle sauve la famille en lui permettant l’aisance financière puis cesse de se méfier des fenêtres ouvertes.

Sans oublier Susie, l’ourse intelligente qui fait chanter Franny, et la scène de la punission de Chipper le violeur.

Ce que j’en pense : Merveilleux livre, sensible et drôle qui nous portent au summum du plaisir en nous donnant l’impression qu’on est intelligent, drôle et sympatique.

mathieu
Author: mathieu

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