Dans la Tour Magister, quartier d’affaire de Paris, les cadres s’échinent à brasser des millions.
Dans les sous sols, une aune de réprouvés, rats clodos, travailleurs clandestins et zombies toxicos, se partagent la sous-merde.
Sur fond de coucheries et de préférences sexuelles exotiques, tout ce beau monde va couver comme une mauvaise grippe, jusqu’à de que la fière monte de manière irréversible.
Là, Gide se fait plaisir. Dans le genre mise en abîme du récit, création de créatif …
Le mec écrit Palude et tout le monde trouve ça chiant. C’est censé être une histoire tirée de Virgile dont le héro s’appelle Tityre et vit dans une tour entourée de marécages.
Le narrateur est maqué avec Angèle. Il lui propose des aventures comme un voyage en train. Mais le type est passablement casanier voir ritualisé, du coup c’est tout de même très cérébral.
« p. 29 : tenir un agenda. Ecrire pour chaque jour ce que je devrais faire dans la semaine » …
Un type s’est fait butter sur les hauteurs de Hollywood. L’inspecteur Bosch et son coéquipier, Iggy, sont sur l’affaire mais le FBI vient piétiner leurs plates-bandes.
C’est qu’il y a une histoire de terrorisme pas claire dans l’affaire, du genre intégrisme musulman avec attentat prévu à la clé.
Il existe un lien intangible mais efficace entre l’école et le travail.
Partons de cette intuition et voyons où elle nous mène.
Toutes les sociétés humaines pratiquent la transmission. En majeure partie grâce au langage, mais également via d’autres supports d’information (rythmes, parures, peintures…), les connaissances contemporaines sont hissées sur les épaules de savoirs et de pratiques accumulées durant les âges. Nous pouvons parler de Sociétés de Transmission.
Force est de constater que pour ce faire, il existe des sociétés de transmission avec École et des sociétés de transmission sans. S’il est notoire que les sociétés avec école sont également celles des systèmes de liens marchands et d’aliénation au travail, il est intéressant de se poser la question de la causalité qui peut unir ces deux processus.
Pour ce faire nous pouvons nous poser la question suivante : les sociétés sans Ecole sont-elles exemptes d’aliénation de l’individu au travail ?
Nous pouvons pour y répondre nous appuyer sur le travail de Marshall Sahlins. Ce dernier, comme nombre d’ethnologues travaillant sur les sociétés de chasseurs cueilleurs nomades ou semi nomades, analyse l’activité de ces sociétés. Elles sont caractérisées par l’abondance des ressources (Qui, pour Sahlins est caractérisée par la satisfaction des besoins socialement définis) et la faible contrainte du travail : le temps accordé à l’obtention de nourriture par les chasseurs-cueilleurs varie de 3 à 5h par jour.
Ces sociétés ne pratiquent pas l’accumulation de biens matériels et leurs différents modes de transmission ne passent pas par l’institution d’un système scolastique.
Il est donc nécessaire de se poser la question suivante : les sociétés de transmission avec École sont-elles toutes vouées à un objectif final d’aliénation par le travail ?
L’exemple de certains pays d’Afrique de l’Ouest peut nous éclairer à ce sujet. En effet, les systèmes de transmission scolaire, dans nombre de ces anciennes colonies européennes ont été mis en place de manière autoritaire et exogène au XIX et XXème siècles.
Prenons l’exemple du Bénin, pays considéré comme le “quartier latin de l’Afrique” par le colonisateur français au début du XXème siècle. Aujourd’hui, si la majorité des enfants béninois suit une scolarité dans le premier degré, seul quelques-uns quittent les systèmes de production traditionnels autonomes pour rejoindre une carrière salariée. Il s’agit en majeure partie de la frange minoritaire, souvent urbaine, ayant accédé au second degré, voir aux études universitaires..
Ainsi, la reproduction sociale, chère à Pierre Bourdieu est non seulement le fait de la création du même par “acculturation familiale”, mais reproduction des liens d’aliénation via un ensemble systémique institutionnalisé.
Un nouveau concept se dessine, forgé au long des luttes émancipatrices du XIX et XXème siècles, à la fois comme résistance et intégration des lutte de classe, assurant la stabilité des liens d’aliénation au travail dans les sociétés dites modernes, sociétés à transmission scolaire, société individualistes et spectaculaires marchandes.
Ceci mérite de plus amples études afin d’être démontré. Cependant, tout en filant l’hypothèse, nous voyons surgir une organisation relevant du parasitisme. Un organisme vivant qui vit aux dépens d’un autre organisme (l’hôte, le corps social en l’occurrence).
Cette idée méritera plus amples investigations puisque, adossée à celui de lutte des classes, elle semble intéressante pour comprendre les enjeux actuels.
Le pack avance sur la ligne de contre. Derrière le traceur redoutable, 9ème Golgoth de sa lignée, les hordiers prennent la formation de contre en diamant, en goute à sept rangs en pack, ailiers et les crocs goinfrent les espaces pour assurer une meilleure résistance au vent, blaast, et furvents destructeur.
Tout est vent. La matière elle-même est façonnée de vent.
Les hordiers ont été formés dès l’enfance par l’Hordre qui, horde après horde lance des expéditions depuis Aberlaas en extrême aval, vers l’extrême amont. Pour voir ce qu’il y a.
Les hordiers doivent avancer à pieds, faute de pouvoir rencontrer les 9 formes du vent et, ainsi, mener à bien leur quête.
la liste des hodiers et leurs fonctions
La Trace rencontre des abrités, aux habitations régulièrement ravagées par les furvents, des obliques des fréoles, avec leurs chars à voile, l’escadre frêle, traversent la Flaque de Lapsane, passent dans la citée d’Alticcio aux palais installés sur d’immenses colonnes, aux portes du passage glacé de Norska.
Toujours rode le mythe très réel de la poursuite, des tueurs chevronnés aux trousses des hordes comme des prédateurs assurant le bon ordre de la sélection naturelle.
L’Observatoire des énergies renouvelables (Observ’ER) a dévoilé les chiffres du marché français du chauffage au bois en 2021. Après trois années de décroissance, les ventes d’appareils ont progressé de 34,4% portées principalement par les segments des poêles et des chaudières. Pour la première fois, le granulé dépasse la bûche.
En 2021, le rebond économique a permis de battre un record : plus de 30 000 produits vendus !
Pourquoi ?
Les incitations financières au remplacement de chaudière, afin de passer aux énergies renouvelables : jusqu’à 15 000 € en cumulant MaPrimeRénov’ et la prime Coup de pouce, pour les foyers aux revenus très modestes.
Rien que sur 2021, on estime à 300 000 tonnes de gaz à effet de serre économisé sur le fioul, le gaz et l’electricité.
Bien
Seulement aujourd’hui, en septembre 2022, il n’y a plus de pellets à mettre dedans !
Qui est fautif dans ce scandale de l’énergie « propre » ?
La classe politique dirigeante, qui a massivement subventionné l’achat des chaudières à pellets. S’enorgueillissant de la masse de rejet de CO2 épargnée, nos édiles et énarques professionnels de l’analyse et du bagout ont omis de calculer les effets à court termes d’une tel révolution. La production de granulés de bois, elle, n’a pas fait partie de l’équation et, comme telle, aucun accompagnement ou incitation des producteurs n’a été pensé.
Mais derrière ces pantins, élus d’un système de chèque en blanc démocratiques, nous pouvons observer l’échec d’un système économique. Le système de capitalisme libéral, dont la fluidité et la transparence suffisent (sur le papier) à assurer la correspondance parfaite entre offre et demande, a une fois de plus échoué lamentablement.
La suite ?
Et bien les prix des pellets ne vont cesser de grimper et nombre de foyers seront dans l’incapacité de se chauffer cet hiver.
Sur fond d’enchérissement du prix de la vie, c’est toute une classe sociale qui va boire le bouillon. On peut imaginer l’impact sur la consommation électrique cet automne 2022 : une explosion des dispositifs de dépannage, souffleurs et autres « grilles pains » pour chauffer tant bien que mal des pièces à l’équipement en chauffage central aux pellets pourtant tout neuf.
Un conseil, pour les têtes pensantes des ministères :
La prochaine gabegie énergétique, vous êtes dors et déjà en train de la créer. C’est la pénurie d’électricité, de terres rares, de lithium et de cuivre en lien avec votre projet utopique de voitures électriques.
Pour conclure
Notre planète est un monde FINI ! ses ressources le sont tout autant et vos rêves d’apprentis sorciers n’y changeront rien.
Il faut mener des politiques réalistes, réalisables et durables.
Grand frais sur la médecine alternative, la médecine douce, dans le Jura !
A côté des apports de la médecine chinoise, de la réflexologie, de ces thérapies qui ne misent pas sur la chimie des médicaments, Maeva RAAB à ouvert un cabinet de kinesio thérapie à Doucier dans le pays des lacs.
John, « môme, » nous raconte l’histoire de sa famille. C’est lui le narrateur, bien qu’il utilise, à propos, les dires et les pensées de presque tous les protagonistes de l’histoire (ours et chien pétomanes compris) pour illustrer et préciser son récit.
Dans la fratrie, nous trouvons Frank (l’homo nihiliste), Franny l’énergique cheffe de bande, John amoureux de sa sœur aînée qui le lui rend bien, Lilly (trop petite) et Egg le petit dernier.
La père, un rêveur du Maine qui a rencontré sa future femme (ainsi que Freud et son ours State O’Maine) grace à un job d’été dans un Hôtel, veux transformer l’ancien pensionnat de jeunes filles désaffecté en Hôtel. Ce sera le premier hôtel New Hampshire. Le second sera trouvé par Freud à Vienne (mi bordel mi repère de révolutionnaires) et le troisième la résidence familiale érigée en lieu et place du tout premier Arbuthnot by the Sea.
Genre : Enquête de l’inspecteur Chen sans l’inspecteur Chen
Note 4/10
Yue Lige, une universitaire est retrouvée assassinée dans le Shikumen, logement traditionnel de Shanghai, collectivisé, où elle habite une chambre de 9 m2.
Ancienne Garde Rouge, ayant pris de plein fouet la révolution culturelle, le « mouvement anti droitiers », de Mao en plein cœur. Envoyé dans une « école de cadres » pour une rééducation anti capitaliste, elle tombe amoureuse de Yang, un écrivain brillant, traducteur de livres en anglais.
Ce dernier mourra de mauvais traitement et elle en restera inconsolable. Ainsi elle publie un ouvrage dissident : « mort d’un professeur chinois ».
Vieux Liang, surveillant du comité de quartier, assiste l’inspecteur Yu dans son enquête, Chen étant en congés pour rédiger une traduction pour un « gros sou ».
Adam a disparu. Son copain Spencer s’est suicidé aux médocs il y a peu. Ses parents, Mike le hockeyeur et Tia la juriste se font du soucis de puis un moment et ont placé un mouchard dans son ordinateur.
Alors qu’un psychopathe sévit en parallèle sur des affaires de femmes retrouvées mortes et massacrées à coups de poing, un réseau d’ado plus ou moins junkies se découvre.
Paul Copland, le proc’, se marie et laisse bosser son équipe sur ce coup-là.