ou une analyse pessimiste des révolutions
Je me réfère ici à la théorie du pas de vis d’Archimède, et non au vis suisse du vatican, de bien moins célèbre renommée.
Ainsi, une révolution est une guerre qui ramène irrésistiblement au même endroit mais après une translation verticale.
Comprenne qui peut…
Après l’histoire prend la transversale…de celui qui raconte…élémentaire, mon cher ;0)
Peut-être… A mon avis la vie de celui qui raconte reviens justement toujours au même point, en tous sens semblable à ladite théorie ;o)