Stephen King : Roadmaster

Genre : science fiction qui tourne à l’épouvante mais bof

5/10

Lorsque Ned, vient tondre bénévolement la pelouse de la compagnie D, personne n’a le cœur de lui demander de partir. C’est que la police d’État de Pensylvany est une grande famille. C’est que Curt, le père de Ned, avait une place bien particulière dans cette famille.

Ainsi, assis sur le banc des fumeurs, le chef en poste de la compagnie D livre à Ned le secret gardé depuis plusieurs dizaines d’année par les policier et plus particulièrement par son père.

Un jour, une chose qui ressemblait à une voiture de marque Buick et de modèle Roadmaster a été abandonnée dans une station service de bord de route par un individu étrange qui s’est volatilisé dans la nature.

Depuis elle est garée dans le hangars de la compagnie et affole tant par ses caractéristiques incroyables (elle ne prends pas la poussière, ne peut pas rouler… n’est pas une voiture!) et par ses manifestations surnaturelles (éclairs, chute de température, apparition de créatures mourantes, disparition de personnes).

Rubicon du primo lecteur

Les policiers ont appris à surveiller l’engin qui se révèle être un sas entre deux univers (terrestre et extraterrestre) et Curtis a même voué une partie de sa vie à l’observer et à l’étudier.

La machine semble progressivement dans le récit, doué de volonté et aurait tuer Curt…

 

Ce que j’en pense

C’est pas le meilleur King. Le récit change en cours de route, d’Alien il glisse vers Chtulu… cependant l’idée d’un « Cheval de Troie » extraterrestre est génial à mon sens et un Stephen King est toujours lisible.

mathieu
Author: mathieu

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.