Archives par mot-clé : Coben

Sans un mot, Harlan Coben

Belfond, 2009, 472p.

Genre : L’adolescence est-elle un crime ?

Note : 4/10

Adam a disparu. Son copain Spencer s’est suicidé aux médocs il y a peu. Ses parents, Mike le hockeyeur et Tia la juriste se font du soucis de puis un moment et ont placé un mouchard dans son ordinateur.

Alors qu’un psychopathe sévit en parallèle sur des affaires de femmes retrouvées mortes et massacrées à coups de poing, un réseau d’ado plus ou moins junkies se découvre.

Paul Copland, le proc’, se marie et laisse bosser son équipe sur ce coup-là.

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Temps mort, Harlan Coben

Note : 5/10

Genre : basketteur blanc en détective de série noire

Pocket, 1998, 377 pages

M. Myron Bolitar, toujours agent de sportifs, se voit confier un job de garde du corps. Corps bien attrayant de la talentueuse basketteuse Brenda Slaughter. Le père de cette dernière, Horace, à disparu après lui avoir fait des menaces…

Une histoire de suicide louche de riche rombière nommée Bradford et de disparition de la mère de Breda (femme de ménage de ladite rombière) se profile en toile de fond.

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Peur noire

Harlan Coben

Couverture de Peur Noire

Genre : polar vite fait bien fait

ma note : 6/10

Myron, directeur d’une entreprise de management sportif et ancien basketteur NBA, se voit confier une mission sacrée : retrouver un donneur de moelle osseuse pour celui qui se trouve être son propre gosse caché.

Jéremmy est également le fils que son ex-amour de fac a eu avec son pire ennemie juré du sport avec qui elle s’est mariée en l’abandonnant seul, après l’amour et un genou pété. Celui-ci n’est autre que Greg Downing le basketteur concurrent.

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Là mon vieux, pas de bol, le seul donneur compatible avec Jérémy se trouve être le fils d’un psychopathe tueur en série ayant lui-même repris le flambeau de son papa vieillissant. Sans compter  que la richissime famille Lex est impliquée, par la bande, dans l’histoire à cause de l’emprunt du nom de l’un de ses légumes de rejetons.

Heureusement tout fini bien et le FBI, lui-même, y retrouve ses petits.

Fleuve noir, 341p.